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Le 4L Trophy est un raid étudiant annuel où des équipages, à bord de Renault 4L, traversent la France, l’Espagne, et le désert marocain pour rallier Marrakech. Bien plus qu’une simple course, cet événement est un véritable défi humain et mécanique, ainsi qu’une leçon de solidarité. Nos deux étudiants, Nicolas et Florian, ont parcouru 8000 km en dix jours, affrontant des conditions extrêmes et vivant des moments inoubliables. Voici le récit de leur incroyable aventure.

Le périple a débuté à Rennes, les menant à travers la France et l’Espagne, avant d’affronter les étendues arides du désert marocain. Chaque journée apportait son lot de défis, de la navigation sur des pistes sableuses aux réparations mécaniques. « Il fallait constamment déjouer les pièges du désert et maintenir notre 4L en état de fonctionnement. » se souvient Nicolas.

 

Défis et solidarité au quotidien

Rénover une Renault 4L de A à Z avec peu de connaissances en mécanique a été un premier défi. Trouver des sponsors pour financer les 10 000€ nécessaires à leur projet a également été une aventure en soi. « Cela nous a poussés à sortir de notre zone de confort et à faire preuve de créativité », ajoute Florian. Leur objectif était de « vivre une expérience unique alliant aventure, entraide et contribution à une cause humanitaire ».

 

 

 

Rencontres inoubliables et moments de partage

Les rencontres ont marqué cette aventure. « Les moments les plus mémorables sont sans doute ceux passés au bord de la route dans de petits villages marocains. Les enfants venaient jouer avec nous pendant que nous réparions ou vérifiions notre 4L. Ces moments resteront nos meilleurs souvenirs », racontent les deux étudiants.

Un défi transformateur

En rétrospective, Nicolas et Florian sont unanimes : cette expérience les a transformés. « Cette participation nous a permis de renforcer notre résilience, de créer des souvenirs inoubliables et de participer à l’amélioration des conditions de travail de nombreux enfants marocains », confie Florian. « Nous avons le sentiment d’avoir contribué à une cause humanitaire et c’est très gratifiant et enrichissant » rajoute Nicolas.

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